la civilisation ne veut plus composer avec la mort et la torture données en spectacle.
Plutôt que de civilisation, il vaudrait mieux parler de sensiblerie. Son aggravation est certainement liée à la citadinisation de nos populations.
Pour les gens de la campagne, la mort de l’animal n’est pas une tragédie, mais une nécessité de la vie quotidienne, que la mémère à chienchien, comme l’ado à boutons, ne peuvent pas comprendre.
Et c’est cette citadinisation qui me fait penser que la corrida finira par être abolie... Ensuite, Madame, vous pourrez vous attaquer à la chasse. Et puis ensuite à la consommation de viande par les humains.
Vous voilà occupée pour les cinquante ans à venir... Comme je serai certainement mort, je ne connaîtrai sans doute jamais les frissonnantes délices du foie gras clandestin.
C’est sans doute mieux ainsi...