Merci Iris d’aborder ce que je crois être un problème très sérieux. Et ce qui me paraît le plus grave, c’est ce ciblage des enfants ou adolescents, qui passent par la promotion des marques, les changements de mode. Vivant en Angleterre qui a tendance à beaucoup plus surconsommer qu’en France, ce sont les queues d’enfants à la porte des librairies attendant le dernier Harry Potter. Au-delà des théories économiques (et le surendettement est une théorie de croissance économique), je me demande ce que l’on fait à nos enfants, à qui j’ai beau expliqué, que le plaisir de la vie repose bien souvent sur l’angoisse de l’anticipation. Tout avoir et tout vouloir, pourquoi faire ?