A la lecture de cet article, et pour mon premier commentaire ici (ça s’arrose) j’exprimerai donc un joli bravo. Pour cet humour grinçant si rare aujourd’hui, et pour cette idée à la « yes men », merci donc. Mais analysons, tout du moins essayons. Pourquoi il y a 25 ans, un Desproges pouvait-il se permettre des saillies verbales sur des tabous aussi hénaurme que le Cancer, l’occupation, la Shoah ? Déja vu ? Desproges était il avant gardiste ? Ou alors, simplement, il est des époques progressistes, et d’autres stagnantes. Et ne pas avancer c’est reculer ai-je entendu un jour. Merci donc pour ce rafraichissement. Et ceux prenant tout au premier degré n’ont pas du comprendre. Les cons c’est à ça qu’on les reconnait, ça comprend pas.