II devrait y avoir un contrôle systématique tous les mois. Mais les produits qui sont maintenant interdits seraient alors autorisés, en quantité raisonnable. Il y a certaines hormones qui pourraient être utilisées sans problème avec un suivi médical mensuel. Je rejoins le docteur François Bellocq, que j’ai eu comme médecin traitant, sur ce sujet.« (Dans le magazine »Tonus" le 6 décembre 1988, cité par François Bellocq dans Sport et dopage, page 122)
C’est le bon sens même, lorqu’on constate l’inextricable boxon auquel a conduit un antidopage à outrance, par ailleurs totalement inapplicable !