Si Lerma avait su écrire ça aurait donné ce genre de prose...Un gloubi-boulga narcissique et cynique bourré de préjugés, amalgames et anathèmes qui permettent à son auteur de s’endormir sur sa bien-pensance et la sureté d’être au service de l’idéologie qui gagne.
Comme disait Ray-Charles, il vaut mieux lire ça qu’être aveugle !