hormis l’aspect diététique du vegetarisme, je voudrais parler de sa néssécité écologique :
« l’élevage, à lui seul, représente 18 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Soit une contribution au réchauffement climatique plus élevée que celle des transports. »
" Autre point noir de cette production : sa propre consommation. Les pâturages occupent 30 % des surfaces émergées, et plus de 40 % des céréales récoltées servent à nourrir non pas directement les hommes, mais le bétail. Les zones disponibles étant insuffisantes pour
répondre à la demande, l’élevage peut provoquer le défrichage de forêts. Il est gourmand en matière première et en eau...
(Le Monde, Le vrai-faux déclin de la viande)