Si, à la place des quelques 6 millions de maghrébins immigrés en France, il s’était agit du même nombre de, par exemple, Suédois (femmes et hommes), le nom d’immigration ne serait connu que des seuls démographes.
A partir de là, je recommande vivement aux populations qui se sentent stigmatisées par les faces de craie, bolos et autres souchiens de se poser la seule question possible lorsque l’on pleurniche :
« Qu’ai-je fait pour qu’il en soit autrement ? »
Commencez à vous poser honnêtement cette question et revenez nous voir pour nous donner la réponse.
Tout le reste n’est que bavardage geignard et stérile !