A l’attention de NMP :
Comme la plupart des gens qui « bouffent de l’espéranto », tu parles sans savoir de quoi tu parles et cela est très triste pour toi...
J’ai étudié l’anglais et il ne m’en reste presque rien et chaque fois que je l’ai utilisé j’avais l’impression d’avoir 4 ans ; en espéranto par contre, j’ai pu (au bout de quelques mois d’une étude plaisante, non forcenée et presque en autodidacte) assister à un Congrès sans perdre une miette de ce qu’il se disait, et de plus j’ai osé interpeler des personnes de nationalités diverses et variées telles que : chinois, allemands, japonais, slovaques, britanniques, etc et PARLER avec elles.
Toutes ces personnes avaient accepté comme moi de faire un pas vers l’autre au lieu de ramper devant l’hégémonie linguistique galopante.
En outre, pour moi, certaines règles de grammaire française se sont éclairées et fixées grâce à l’espéranto...
L’introduction de l’espéranto en classe, voilà une réforme intéressante, peu couteuse mais surtout qui porterait des fruits dans l’étude du français (qui est en train de dépérir)et des autres langues également qui sont menacées elles aussi. Mais est-ce que l’Ecole de la République a vraiment l’intention que TOUS ses élèves soient formés et épanouis ? J’en doute...
Voilà, je ne vais pas perdre plus de temps, car comme certaines maladies sont dites « incurables », certaines personnes sont « infréquentables »... :