Il n’y a sans doute pas de matière qui mérite davantage d’aller vers les techniques participatives que les politiques d’urbanisme et du logement. Et là, ça a l’air de faire flop.
Comment oublier que le logement est d’abord l’objet d’un énorme gaspillage ? Il faut restituer une connaissance locale du patrimoine public et privé, interroger les pratiques des investisseurs (à commencer par les particuliers qui ont toujours une perception immobiliste de l’immobilier), trouver des solutions d’avenir aux problèmes du transport, et en particulier au lien entre travail et résidence.
Combien de logements vides ? Combien de logements inadéquats ? On n’a même pas de thermomètre ! Quel est le coût (public) des infrastructure(s) pour l’implantation d’un logement (privé) ? On ne sait rien.
L’une des conditions majeures d’une évolution positive, c’est de remettre de l’ordre dans la gestion publique locale, de tuer le système des notables, d’intégrer davantage de face-à-face, bref de gérer !