Au niveau de l’individu, une mutation s’opère dans la conception qu’il a du travail. Au cours des dernières décennies, le travail a perdu les attributs que sont l’épanouissement ou le plaisir. N’est-ce finalement pas ce que chacun est en droit d’exiger ?
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Excusez mon impertinence mais je ne vois pas comment ; si ce n’est en modifiant génétiquement certains travailleurs, - en abolisant par exemple le libre-arbitre, l’anti conformisme ou en limitant l’imagination, le sentiment de liberté, etc ... - , que vous allez faire en sorte de redonner le goût au travail à la chaine. Je reste d’ailleurs convaincu que son auteur n’a jamais expérimenté sur lui même ce type de travail sans quoi il n’aurait jamais pu écrire cet article.