@ l’ auteur qui conclut :
« Le dessein de mon analyse n’est pas de faire une stigmatisation manichéenne des étudiants en France pusique j’en suis moi même un. Il s’agit de montrer une autre voix, qui n’est pas assez souvent représentée dans les médias, et qui a le droit de s’exprimer librement. »
Ah bon ?
Pas assez représentée dans les médias, votre voix ?
C’est pourtant celle de quelqu’un que l’on voit quotidiennement, mais son nom m’échappe... Mais si, vous savez : un petit agité qui élude les négations dans les phrases pour faire « peuple »...
Blague à part, la citoyenneté ne s’apprend pas seulement dans les livres : elle s’exerce et s’expérimente. Si vous n’êtes pas d’accord avec ce qui se dit dans ces AG, vous avez des moyens d’action. Faites vous le porte-parole de ceux qui parlent de la même « voix » que vous, - celle trop souvent ignorée des médias-, entrez en résistance !
Bon nombre de syndicats et de groupuscules de droite et d’extrême droite, peu représentatifs mais matériellement « à l’aise » et très actifs (surtout en fac de droit, d’ailleurs... Vous êtes parisien : vous connaissez Assas, ses graffitis, ses tracts...).
Etudiant en droit, vous devriez en étudier un peu la philosophie : ça vous ouvrirait d’autres horizons !
Bonne continuation.