Disons pour résumer qu’en cas de choix stratégique d’un pourrissement, envisagé dès le début semble-t-il « ils ne tiendront jamais un mois ! », l’affaire ce matin des sabotages arrive pile poil. Dans toute manifestation les casseurs ne sont obligatoirement ceux qu’on pense. Des gamins avaient mis sur internet des vidéos extrêmement troublantes de l’affaire de la gare du Nord cassée par des... « casseurs ». La photo du Figaro de l’époque montrait un casseur blond, crâne rasé, muni d’une matraque de CRS. La casse a toujours aidé à obtenir ce qu’on voulait. Ça porte un nom, c’est le principe du Reichstag. Mettre le feu et dire qu’on est pompier. Idéal !