Ca va avoir l’air hors sujet, mais, bon, je me lance : les salariés intermittents du cinéma sont aussi victimes des mauvais payeurs....
De plus en plus rare sont les productions qui payent les salaires à la fin du mois.
Et les salaires, ça va encore, les prudhommes veillent (encore) au grain.
Les remboursements de frais attendent des mois, après des dizaines de coups de téléphone...
Et un salarié, ce n’est pas une entreprise, le salaire est absolument nécessaire, le loyer n’attends pas, le reste non plus.
Alors, je serais bien interessé par une typologie des mauvais payeurs.... patronaux