Bonjour,
Mais au fait qu’en pensent les Ouzbeks de s’être fait balancer par un « guignolo » de la DGSE qui a transmis le dossier à DASQUIE lequel l’a porté à la connaissance du « grand » public ? A propos combien a-t-il touché pour ce service ?
Si ces messieurs, DASQUIE et sa (ses ?) sources avaient un minimum le sens de la déontologie qui sied à leur travail respectif, ils auraient pu au moins retirer ce détail du dossier paru sous forme d’article dans le Monde. Cela n’aurait rien enlevé à l’intérêt de l’article.
A savoir également qu’il n’a pas fallu attendre avril 2007 pour que tout un chacun sache que les services français avaient prévenu leurs homologues américains. Ceux-ci ont eu l’info. L’ont ils exploité ? Si non, pourquoi ? là est la VERITABLE AFFAIRE.
Quand on donne dans l’investigation, on se doit de connaître les risques encourus et je considère que G DASQUIE les connaissait lorsqu’il a décidé de publier ce dossier. Sinon cela confirmerait que son ego est véritablement surdimensionné au point de se croire au dessus des lois d’un Etat qui a tout de même le moindre des droits : de se protéger.
Dejan