@ Philippe BILGER
Que n’aurait-on dit d’un procès interminable ou d’une justice expéditive ?
L’ avocat général tourné en dérision....
Une justice de« respect ostensible » de « supériorité subtile ».
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Vous ne quittez pas votre robe et votre fonction, Monsieur, lorsque vous vous exprimez sur ces sujets graves et cela me convient ....`
Bien que ce ne soit pas le fond de votre article, mais seulement une réflexion sur le sort des condamnés , vous comprenez la peine de leurs familles et vous réjouissez de leur retour en France pour y purger leur peine. Certes ce n’est pas faire offense au Tchad que d’imaginer leurs geôles........et les conditions d’enfermement.
Cependant , vous passez sous silence et selon le journaliste Marc GERMIRIAN que ces « naïfs »avaien pleinement conscience des risques encourus et que les badigeonages de fausses plaies de « Betaïne » faisaient partie d’un scénario et qu’ils savaient parfaitement que cet enlèvevement de 103 enfants de 1 an à 10 ans était en réalité un kidnapping.
Ils savaient également que les enfants étaien tchadiens et non orphelins....
Bien que que votre article décrive essetiellement la condescendance et la supériorité subtile de la justice du « Blanc », dans cette affaire et que ce soit là , son objet, je ne peux m’empêcher de rappeler les circonstances de cette lamentable affaire .
Lohengrin