Sujet délicat et qui attire évidemment les commentaires "yaka leur couper les couilles comme ça y recommenceront pas".
On voit vite la limite de cette réflexion, pour sauver les enfants des "affreux prédateurs sexuels" il faudrait leur couper les couilles avant qu’ils passent à l’acte, non ?
Certains ici semblent s’imaginer qu’il n’existe que des récidivistes. C’est sur, c’est de ceux-là dont on "régale" l’opinion.
Un discours plus difficile à entendre est que l’attirance pour les ados ou les enfants est un fantasme plus répandu qu’on ne veut l’admettre. Ce refus, cette manière de s’enfouir la tête dans le sable ma parait être un peu contre-productive. Certains trouvent des palliatifs en déguisant leur partenaire sexuel en collégienne ou en s’épilant.
Le problème n’étant pas ici le fantasme mais le passage à l’acte. La majorité des gens arrive à se controler. Une minorité n’y parvient pas et le coupage des couilles cher à nos vengeurs masqués n’y changera pas grand chose