Un autre exemple de supplice infligé pour délit de conscience : Giulio-Cesare Vanini, l’un des premiers à avoir étalé son athéisme a été exécuté à Toulouse le 9 février 1619.
L’Inquisition l’avait condamné à avoir la langue coupée, à être étouffé puis brûlé sur le bûcher.
On peut se demander quelle utilité il y a à commencer par couper la langue d’un condamné s’il doit de toutes façons mourir en suite.
Sinon par un sadisme bien difficilement compatible avec une religion d’amour.