Maxim : on vous a dit récemment que vous ne lisiez pas ce qu’on écrit : merci de m’en apporter la preuve. Le sujet vous embarrasse, et vous bottez en touche car vous n’avez RIEN à dire encore une fois. Votre embarras provient de votre méconnaissance du problème. Or, à plusieurs reprises, vous ne vous étiez pas gêné pour faire quand même des remarques sur le sujet. Mal à l’aise, le bonhomme, aujourd’hui !!!