Réponse à la question précédente :
Par quoi remplacer la croissance ?
Par la stabilité, tout simplement.
D’ailleurs, si vous regardez l’évolution économique des 25 dernieres années, vous constaterez que c’est naturellement en marche :
Avant, on parlait de croissance de l’ordre de 10% l’an....
Maintenant, on est content avec 2% l’an.
(chiffre à rapprocher de la limite imposée par l’Union de 3% de deficit... de la remuneration du livret A à 2 %).
Tous les indicateurs tendent inexorablement vers le zero..
Vu de plus loin, çà s’appelle la stabilité... et çà va continuer.
Le problème, c’est que le discours hypocrite des politiques contrarie la mise en place d’une politique d’accompagnement et de réajustements sociaux indispensables...
D’où l’augmentation de la précarité et de l’exclusion, pendant que quelques privilégiés ponctionnent encore les résidus de croissance à leur seul profit.
(voir les revenus ehontés des dirigeants des grands groupes industriels)