En lisant cet article on est quand même étonné par deux choses. La première est que Medvedef est subjugué par Poutine dans sa vie politique et la seconde qu’il est subjugué par sa femme dans sa vie privée. Entre les lignes il faut comprendre qu’il s’agit d’un fallot.
Fallot pour fallot, c’est quand même un fallot qui a réussi à être de tous les bons coups et à diriger Gazprom, une société qui vaut 300 milliards de dollars.
Comment se fait-il qu’en Russie il faille être fallot et mou pour réussir dans une jungle de requins à rafler les meilleurs postes ? Ou alors peut-être que l’article exagère le portrait de l’homme. Il s’agit sans doute d’une faute d’orthographe. Au Kremlin ce n’est pas la fallocratie mais la phallocratie qui mène la danse.
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