Cet article résume assez bien le risque systémique, contre lequel l’histoire a construit les barrages que sont les ratios prudentiels, c’est à dire de la régulation.
Ils ne fonctionnent que pour les petits acteurs. Quand c’est la première puissance mondiale qui déconne, comme l’Angleterre en 1880, ou les US en 1927, ça ne suffit plus.
Quand on tombe de très haut, pendant un moment tout va très bien. On a une grande impression de liberté.
L’oubli de la régulation conduit fatalement à l’intervention. Il n’y a pas de libéralisme absolu.