Texte démagogique et naïf.
Il est parsemé de tant de contradictions que je n’ai pas le courage de toutes les énumérer.
(Juste une : si le bois cité en exemple était privatisé, peut être qu’il serait entretenu mais on n’aurait sûrement plus la liberté d’y aller ! La propriété n’est pas forcément privée, elle peut être collective)
Il y a aussi des confusions : celle du libéralisme philosophique avec le libéralisme économique et confusion du libéralisme économique avec l’anarcho-capitalisme.
Et l’auteur passe sous silence toutes les dérives du "libéralisme".