Donc, pour résumer, l’auteur aurait voulu qu’elle se laisse gaver de morphine jusqu’à ce que mort s’ensuive ? Parce que mort s’en serait suivie, il faut bien le rappeller, même s’il n’y avait pas eu de relation de cause à effet. Ce que vous appellez "soin", c’est en fait une légumisation jusqu’aux derniers instants. "Non, désolé, on ne peut pas vous aider à mourir, la loi l’interdit. Mais on a le droit de faire de vous un légume jusqu’à votre mort, si ça vous dit !"
Quelle hypocrisie ! Quel mot est-ce que vous n’avez pas compris dans "droit de mourir dans la dignité" ? Parce que c’est cela qu’elle réclamait !