C’est le double effet Sarko.
C’est Nicolas Sarkozy qui doit se retourner dans son palais, lui qui affichait dans son programme présidentiel que "La mondialisation ne peut en aucune manière justifier que l’homme et l’environnement soient sacrifiés aux intérêts de l’économie et du commerce".
Si Sarko n’avait pas menti durant toute sa campagne, son gouvernement ne s’emmêlerait pas constamment les pieds en dansant le « tango ».
Le gouvernement hérite tout simplement des conséquences des manœuvres exercées par sarkomenteur.
Même si Mme Rama Yade est de bonne volonté, elle perd son temps. Kouchner a exprimé le point de vu du Président. « L’économie d’abord, les droits de l’homme ensuite. »