Franchement, c’est quoi, ce titre racoleur, pour parler d’un sujet délicat, qui, finalement, doit n’impliquer que les personnes concernées ?
Si quelqu’un décide de vouloir mourir, étant condamné médicalement, ça le regarde, et si des proches peuvent l’aider, il doivent pouvoir le faire, sans avoir de compte à rendre à personne.
Chacun (à partir du moment où ça n’implique que lui) décide de ce qu’il fait de sa vie : aucune institution n’a rien à y voir.
Il ne manquerait plus que, en cas de suicide, les familles soient poursuivies, aussi, tant qu’on y est, non ?
On sent poindre là-derrière comme des vieux relents religieux ; les mêmes qui n’ont toujours pas digéré l’IVG, entre autres...
Libre à chacun de disposer de sa vie comme il l’entend, avec l’aide de ses proches, et basta !