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céline 27 juillet 2008 15:19

Bonjour,

Moi je trouve que ce monsieur Dubec manque cruellement de lucidité sur lui-même.

D’abord, l’intérêt macabre et obsessionnel qu’il porte à ces sujets glauques est déjà en soi assez parlant.

Mais il prétend ne fantasmer les crimes sadiques que par conscience professionnelle, et par pur hasard : « La rencontre, c’est celle de Guy Georges : je ne l’ai pas choisi, c’est la justice qui me l’a présenté. » : il nie complètement l’intérêt morbide qu’il voue à ces criminels.

Car non seulement il a choisi sa profession et le milieu dans lequel il l’exerce, mais en plus il écrit des bouquins plus que douteux « le plaisir de tuer » . Tous les psys ne se spécialisent pas dans ce genre d’activité, et tous les psys n’écrivent pas des bouquins douteux sur le sujet.

Non, contrairement à ce qu’il voudrait nous faire croire pour se dédouaner de ses goûts morbides, Dubec n’a pas rencontré Guy George par hasard : cela correspond parfaitement à ses centres d’intérêt morbides.

Ce qui pose problème chez lui, c’est qu’il nie en permanence l’ intérêt morbide qu’il porte à ces criminels sadiques, et il se déresponsabilise systématiquement vis-à-vis de ses propres penchants sadiques : il les universalise afin de se décomplexer ! Et puis juste après cette complicité morbide, « il se ressaisit », alors il est sévère, sévère pour se dédouaner de ses propres penchants.

Mais ce ne sont pas des fantasmes chez Dubec : il est excité par des photos de crimes réels ; c’est la réalité criminelle qui l’excite, pas des représentations. Tout ça est sordide.

Et quand il avoue son intérêt morbide pour le sadisme, il prétend alors à l’universalité du sadisme sexuel masculin.

Belle leçon de nullité de la pensée.

Etre fasciné par des gens aussi cons que Guy George, admirer de pareils imbéciles, ça me laisse perplexe.

Penser que ces types là sont virils, admirer leur sexualité perverse, ça dénote la misère affective et sexuelle dans laquelle doit vivre Dubec.

Dubec nous offre une vision particulièrement glauque de la sexualité et des rapports homme-femme. Tout indique chez Dubec un profond malaise professionnel, personnel : ce malaise et cette obsession traduit la morbidité de Dubec.

Céline


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