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genet genet 26 décembre 2009 11:54

URGENT DÉCISION DU 4 DÉCEMBRE DE LA CHAMBRE DISCIPLINAIRE DU CONSEIL DE L’ORDRE DES MÉDECINS CONDAMNE le DR ET EXPERT PSYCHIATRE Michel dubec A l’INTERDICTION D’EXERCER PENDANT TROIS MOIS.

A DIFFUSER MERCI.
Condamnation de 3 mois avec sursis d’interdiction d’exercer pour le dr michel dubec
>
Ça fait quand même plaisir ! C. quand même une victoire, une <<éclaboussure>> sur un homme qui se prétend irréprochable !
Hélas, on me le fait très cher payer :

à diffuser le PLUS LARGEMENT POSSIBLE SVP.

VICTIME DU DR ET EXPERT PSYCHIATRE MICHEL dubec ET En CETTE PÉRIODE DE FÊTES DE FIN D’ANNÉES JE VOUS DEMANDE DE FAÇON Solennelle de m’aider.

A quelques jours des fêtes de fin d’année, je reviens une troisième fois vers vous et de toutes urgence et de toutes les forces qu’il me restent, je vous demande de créer enfin une chaîne de solidarité effective et active afin de me soutenir.

Je vous demande à tous, amiEs ou inconnuEs de l’aide ; Vous avez le choix entre plusieurs possibilités :

1) D’abord diffuser sur toutes vos listes cet email

2) Postez-le sur tous les sites que vous connaissez

3) Parlez-en le plus possible autour de vous si possible à des médias et journalistes en priorité

4) ( la priorité reste hélas financière )L’aide peut également être d’ordre financier car les très grands avocats assez solides pour lutter contre le pervers national qui m’a faite emprisonnée coûtent très cher et c’est normal : il faut un sacré travail et une énergie incroyable pour se battre contre le personnage en question. Donc, aucune somme ne sera négligeable : 5, 10 euros, et beaucoup plus si vous le pouvez me seront très utiles (je vous enverrai bien entendu un reçu) à mon nom et à l’adresse suivante : 1, rue Vidal de la BLACHE - 75020 PARIS -

5) l’aide morale : une lettre, un petit mot gentil me soutiendront car je reste avant tout un être humain que 14 ans de conflits avec dubec ont brisé, même si je veux parfois donner le change - toujours cet amour propre !

6) des lettres de soutien à verser au dossier : certificats moraux, lettres qui viennent d’organismes institutionnels, ou associatifs, et contestant dubec - ça peut être pour son acharnement judiciaire contre moi ou pour ce qu’il a écrit dans son livre ou les écrits qu’il a signés lors d’expertises.

Merci d’avance à toutes celles et tous ceux qui répondront à ce SOS. Je compte réellement sur vous toutes et tous.

Signé : une Brigitte qui traîne dans les rues, fatiguée, sans plus de cerveau ni de courage. (Pardon si c’est un peu trop de chez trop mais c’est ainsi que je le vis tous les jours).

Je reste convaincue que SEULE LA MÉDIATISATION DE L’AFFAIRE FERA ÉCLATER LES DIFFÉRENTS SCANDALES QUI POUR L’INSTANT RESTENT ÉTOUFFES PAR LES POTES DE NOTRE PERVERS NATIONAL.
Dans mon quotidien, je me découvre un courage que j’ignorais posséder. Est-ce du courage ou bien de la folie ? Je crois qu’il s’agit plutôt de folie car je n’ai pas peur et que la d��finition du courage, c’est de braver sa peur, non ? 
Donc sans arme, ni rien qui puisse en faire office, je m’aventure dans des quartiers où s’est réfugiée la part maudite de l’humanité et où il reste ce petit tas d’ordures si cher et salvateur aux yeux de Genet (les expressions en italiques sont de ce grand poète), c’est-à-dire ces personnes aguerries à toutes formes de violences - ce qui est vraiment obscène, Maître, n’est-ce pas cette incessante et brutale confrontation entre la part humaine et les conditions animalières dans laquelle ils vivent ; je me fais cette réflexion sauvage qui vaut ce qu’elle vaut : ce qui est douloureux, ce n ’est pas qu’ils vivent comme des chiens, mais c’est qu’ils demeurent des Hommes.
Devant cette part maudite, devant ces êtres que la survie a rendu effondrés, clochardisés, abouliques, sans plus aucune force ou/et au contraire manipulateurs, voleurs, agresseurs, tabasseurs, et parfois criminels, une espèce d’énergie du désespoir me fait tenir la tête haute.
Je porte comme une médaille - et surtout un bouclier - les quelques acquis que j’ai pu obtenir par la fréquentation de la prison, les contacts que j’ai gardés et des livres de Jean Genet.
J’apprends les quartiers où tout le monde s’en fiche des gens qui vomissent par terre et hurlent leur misère, où tout tient dans vos fringues : votre crédibilité, votre statut, votre honneur : porte-t-il ou porte-t-elle la dernière casquette à la mode ? Où les mots, et pas davantage les promesses ne signifient quelque chose de vraiment réel, où l’on peut rester 3, 4, 5 heures dans un endroit risqué, sombre et froid, en attendant un rendez-vous qui ne viendra jamais, où les paroles de vos interlocuteurs qui vous tutoient d’emblée s’écoulent comme l’eau d’un robinet,dans une langue hybride et souvent incompréhensible. Où tout glisse pour chacun comme dépourvu du moindre d’affect ou morale personnelle, et que rien ne compte, excepté le manque qui rythme le temps ; le manque comme moteur et comme piège ; le manque jamais comblé, le manque qui d’abord, modeste, n’est revenu qu’après quelques jours, puis s’est s’est fait connaître dès le lendemain matin, puis s’est resserré en quelques heures. Et puis on ferait n’importe quoi pour ne pas le supporter encore, ne serait-ce qu’une poignée de minutes. Le manque que seules quelques secondes ne sépareront de la mort. Le manque de drogue ? Pas seulement ! Le manque de tout : abri, considération, chaleur, vêtements, nourriture, téléphone, de monnaie, de cigarettes...Il n’y a ni nuit ni jour comme repères, il n’y a que ce manque à satisfaire jusqu’à l’indécence. Moi, je n’ai pas succombé à ce fléau et c’est bien la première fois que je vis une situation semblable. J’apprends la misère humaine ; plus encore : je l’éprouve, car j’ai toujours su qu’elle existait, bien entendu, mais de façon théorique, à l’instar d’une cancéreuse qui veut se cacher qu’elle est malade.
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Dans ces endroits où le nombre de boutiques taxiphones-internet est le baromètre du taux de pauvreté des habitants. Plus ce nombre augmente, plus la misère y est presque palpable. Chaque 50 mètres, vous en rencontrez une, souvent tenu par des pakistanais. On y crie au téléphone, les enfants pleurent, vos doigts s’enfoncent, d’abord hésitants, dans les touches crasseuses des claviers d’ordinateurs collés les uns aux autres dans ces lieux où l’on a toujours trop chaud ou trop froid.
> Et le soir, je ne sais pas par quel mystère, je découvre sur mon corps des hématomes et des griffures inconnues, comme si 1) soit j’avais reçu des coups et je n’avais pas eu mal dans l’immédiat de la blessure, 2) soit mon psychisme avait hystérisé ma douleur morale en lui donnant une forme somatique.
POUR PLUS D4info, CLIQUEZ SVP SUR CE LIEN TRES UTILE :
Affaire Brami-DubecMERCI D’AVANCE A VOUS NE M’OUBLIEZ PAS. UNE CHAMBRE MÊME DE 3 Mètres CARRES ME SERAIT TRÈS UTILE CAR JE N’AI PLUS D’ARGENT POUR PAYER LES HÔTELS CRASSEUX DANS LESQUELS Je me suis trouvé dans l’obligation de résider jusqu’à présent.
MERCI D’AVANCE
BRIGITTE BRAMI

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