Le chômage n’étant pas exclusivement réservé aux zones urbanisés et désservi par les transports en commun, allons-nous vers les bidons villes aux périphérie des aglomérations. Le prix du logement et de l’essence n’est plus supportable pour un smic même revalorisé à 2,3%. Pour rappel celui-ci avait été revalorisé de 25% en Mai 1968. Et un chômeur , peut-il encore accepter un travail hors de sa zone d’habitation. Sauf peut etre s’il a un Solex 3800 débridé 2X2 tout temps.
Mieux ! Merci patron Medef, un aller simple hors de France.
http://www.barons-marques.info/article.php?titre=reclassement_bresil