L’ensemble du système boursier ne repose sur rien (enfin presque), ce n’est pas moi qui le dit mais des ex-maîtres d’oeuvre du système en question, après avoir pris leur retraite, comme MM. Stiglitz et Greenspan.
"La totalité des richesses négociables (biens, services) représente moins du 1/10ème du volume des échanges boursiers, [... ] en partie à cause de la spéculation sur les produits dérivés."
"La bourse détruit (engloutit, volatilise) mille milliards de dollars par an."
J’ai la sensation que la construction économico-financière ressemble à un château de sable en train de sècher : un pan s’effondre ici, un autre là, ... pour l’instant ça ressemble toujours à un château, mais pour combien de temps encore ?