Scientifique de formation, je suis un peu perplexe sur la tournure de cette affaire de chercheur qui finalement, à vouloir « prouver » un effet au delà de l’infinitésimal et homéopathique, démontrerait son contraire à savoir que, abstraction faite d’un effet spécifique (homéopathique), seule la connaissance de l’effet recherché le provoquerait, donnant raison aux détracteurs de l’homéopathie ! : tout est dans la tête, l’homéopathie est un placebo etc
Or ce qu’observent les malades soignés par homéopathie est un effet spécifique. il est observé sur des animaux, sur des enfants. Il est reproductible.
Si la « mémoire de l’eau » a donné un espoir pour l’optimisation des thérapies homéopathiques, sa cohérence et surtout sa spécificité, la suite des événements me semble un intéressant arte fact à étudier de plus près car il ouvre le champ de l’imperceptible et de la pensée.
Alors pourquoi ne pas refaire ces expériences, le cerveau du chercheur averti versus ignorant et non motivé, exploré sous RMN ou PET etc