Francis Kuntz, tu es mon journaliste grolandais préféré.
Et en plus tu signes tes hauts faits du nom de l’un de mes auteurs préférés, Kafka...
J’aime beaucoup cette tribune où tu démystifies l’agaçant philippe Val, tout en rendant hommage au courage de Denis Robert.
Tu es dans le bon camp Francis, et j’essaie de t’y rejoindre par mes modestes moyens. C’est un noble combat trop souvent méprisé, voire ignoré. Si Philippe Val se comporte en petit prince dédaigneux, laissons-le dans sa fange, il ne mérite pas que l’on se salisse en essayant de l’en sortir.
Merci beaucoup à toi et à Denis. Et Banzaï !
Olga en direct de Mufflins.