Et n’oublions pas la cerise sur cet indigeste gâteau :
Le mot de la fin de Mr. Nahon, répondant au Président qui vient quasiment de l’obliger à parler de Carcassonne....Il dit :" ...bon, on en parlera...YES !..."
Ce "Yes" , incongru, est presque comme un cri du coeur, un cri d’amour, semblable à celui du G.I. américain que l’on formatte à donner du "...Sir, Yes Sir !" à tous les aboiements des caporaux...
Ecoeurement...