Le vrai tort est de laisser la gestion des comptes sociaux aux partenaires sociaux. Ces prélèvements obligatoires représentent des sommes colossales, équivalentes au budget de l’Etat, et les contrôles sont beaucoup trop légers.
Il faudrait intégrer l’ensemble des prélèvements obligatoires au budget de l’Etat, car c’est le seul moyen d’avoir un contrôle démocratique sur ces montants gigantesques (+ de 200 milliards d’euros par an).