L’auteur a raison : quand on est chargé de garantir la paix, on n’envahit pas tout un pays contre toute règle internationale et au risque de tout embraser. Il a raison aussi à propos des commentateurs qui choisissent de se ranger dans un camp ou dans l’autre alors que les missions de préservation de la paix dans le monde et le droit international exigent qu’on ne doit pas prendre partie de manière émotionnelle ou irréfléchie pour un camp contre l’autre. L’émotion n’est pas toujours bonne conseillère...