La survivance dans notre pays des taux d’usure pratiqués par les organismes gestionnaires de ces crédits revolving est une illustration éclatante de la duplicité du pouvoir sarkozyste, prompt à manier la compassion mais qui reste totalement sourd aux demandes de plafonnement des taux.
Le problème est que cette forme d’usure moderne rapporte beaucoup trop aux amis du président pour qu’une moralisation soit engagée. Et c’est ainsi que la France reste l’un des pires pays de l’UE en la matière !