Bien vu, quoique le TPI ne soit que la surface des choses. Je remarque néanmoins que M. Mugabe sait choisir la cible de son ire. Sarkozy a pourtant soigneusement attendu que ses deux idoles, Bush et Brown, aient émis un avis pour se précipiter et glapir contre l’infâme. Il est particulièrement significatif que Mugabe le mouche, lui, et pas George, ni Gordon. C’est dire où en est notre prestige et notre capacité à peser sur les affaires internationales, après un an de Sarkocircus. Notre glorieux président se fait talocher comme un gamin. Et il va répondre quoi, notre morveux, maintenant ? "C’est çui qui l’dit qui y est" ?