J’ai adoré le passage, en dépit du sabir pseudo-freudien à deux balles :
Alors que les femmes ont réussi leur libération sexuelle en termes d’épanouissement personnel et d’abandon des tabous, les hommes ont du mal à suivre. Ils interprètent cette révolution avec leurs clichés, leurs préjugés, leurs apriori et, surtout, la cainte de remettre en question un pouvoir politique et écvonomique, sublimé en pouvoir phallique donc ramené au fonctionnement de leur pénis. Ils ont besoin de vérifier en permanence que la machine est bien là et fonctionne correctement.
En d’autres termes, si le hommes ne sont pas comme Madame voudrait, c’est que ce sont eux qui ont un problème...