Maxim : alors quelles conclusions en tirer (...)
En fait je trouve dangereux et désespérant que l’on se pose la question. Ca me fait penser à la meurtière canicule de l’été 2003. Certain plutôt que de se poser la question des dysfonctionnements du système préféraient dire "ce n’est pas si grave, ils ne leurs restaient de toute façon plus beaucoup à vivre". Ce raisonnement est irréponsable, détestable et inhumain selon mon point de vue.
Je crois que le devoir de la république reste de protéger ces citoyens de tous les dangers que présentent la société. Il est de son devoir de tout faire pour que nous, en toutes circonstances, nous ayons une branche à laquelle nous raccrocher pour nous sauver. Ce n’est malheureusement pas toujours le cas et on le sait. Dans le cas de cet homme, ca n’a pas été le cas, et le profond cynisme avec lequel on fait fi de son cas est simplement révoltant.