En tout être humain, il existe des qualités et des défauts. Il nous appartient donc de tenter l’objectivité.
Les bons côtés de notre président sont son dynamisme, sa ténacité, son sens implacable de la communication, son volontarisme, et sa maitrise de l’appareil politique.
Ces qualités individuelles l’ont mené au plus haut siège de la nation. Mais ces atouts, sont-ils orientés au service de la France ou d’autres intérêts ?
La réponse réside dans ses défauts : égocentrique, colérique, veut tout contrôler, en connivence avec le monde des affaires, et applique la chanson de Georges Brassens « les copains d’abord ».
Dans un Etat démocratique, le Président est dirigé vers l’intérêt supérieur de son peuple et non de soi même, ou de ses proches. Dans le même esprit, ce président provisoire confond « le capitalisme au service du peuple », et « le peuple au service du capitalisme ».
En faisant un petit récapitulatif, on s’aperçoit que nous n’avons pas élu un Président de la république Française, mais un PDG de l’entreprise France&Co au service du monde de la haute finance.