Les Français sont en effet surpris et inquiets qu’une minorité étrangère, dont personne n’a l’air de savoir ce qu’elle est venu faire en France, puisqu’elle provient de pays qui sont devenus indépendants dans les années soixante, après avoir chassé les Français pour s’installer tranquillement dans leurs pénates, importe en France un conflit et des haines religieuses ancestrales qui ne concernent ni la France, ni les Français.
Des conflits qui les concernent si peu qu’ils ne manifestent aucune envie de s’exprimer sur ces sujets.
Les Français constatent par ailleurs une résurgence d’un antisémitisme qui se manifeste de façon violente, y compris sur la voie publique, mais ils constatent aussi une mise en danger des droits et de la dignité des femmes et une remise en cause des principes de notre société laïque et démocratique.
Principes démocratiques et laïques dont tout le monde sait à présent qu’ils sont incompatibles avec l’Islam, puisque l’Islam est une idéologie religieuse totalitaire, c’est à dire prétendant régenter la totalité des aspects de la vie personnelle et sociale des individus concernés.
La démocratie était-elle compatible avec le Fascisme, dans les années trente ?
Non, car le Fascisme était lui aussi un totalitarisme, dont les fondements n’était d’ailleurs pas d’ordre religieux ce qui, à bien des égards, le rendait moins dangereux.
Tout ceci est bien compris désormais et chacun sent, plus ou moins confusément, qu’il va falloir traiter le problème. En attendant, en guise de mise en bouche, commençons par nous poser les questions suivantes :
Qui a laissé passivement entrer ces populations étrangères en France ? Et pourquoi ? S’agissait-il seulement de passivité ? Y avait-il un calcul derrière tout celà ?
Cette affaire est désormais au coeur du débat politique national, et les incidents qui ne manqueront pas de s’accumuler dans le futur (celui qui pense le contraire veut prendre ses désirs pour des réalités), nous permettent de prédire qu’elle ne risque pas de disparaitre de sitôt des agendas politiques.
Attendons la suite.