Nous ne pouvons connaître les chiffres réels de ce fléau. Dans certaines régions reculées où la consanguinité a fait rage, c’est monnaie courante de coucher avec sa fille et rien ne se dit, rien ne filtre. Par contre, ce qui surprend, c’est le nombre de gamins placés en IME puis en CAT.
Même en zone urbain, beaucoup ne parlent pas. Alors les chiffres en amont du tribunal, je n’y crois pas trop.