Une question n’est pas abordée dans l’article : les milieux sociaux concernés.
Sauf erreur de ma part, je crois, hélas !, que TOUS sont touchés par ce fléau, comme j’ai pu le constater à travers les témoignages de professionnels et de familles d’accueil d’enfants de la DDASS.
Cela démontre qu’il ne s’agit pas d’un problème d’éducation, et donc pas d’une question d’obscurantisme comme le dit Philou, mais d’un problème de construction psycho-affective infiniment plus difficile à solutionner car il touche au plus profond de l’individu.