Je m’étonne, sans m’étonner, de ne pas voir mentionné les mutilations génitales rituelles, notamment la circoncision.
Ou bien faudra-t-il cesser de parler de violence sexuelle quand l’enfant violenté aura été anesthésié avant d’être sexuellement abusé ?
Suffit-il d’anesthésier une femme pour pouvoir lui fracasser la tronche ?
Non ?
Pourtant n’importe quel perverse peut traiter le sexe de « son fils » de laid, de sale, de puant, d’impur, avant de demander à un type de l’amputer d’un de ses parties que nul n’ose enlever aux filles.
Donc voilà, quand j’assiste à cette mascarade de la violence sexuelle faite aux enfants, je n’ai que mépris pour tous ceux qui ne voient pas l’utilité ou la justification d’ajouter le crime de circoncision.
Mais peut-être ces individus considèrent-ils que sodomiser un enfant n’est rien d’autre qu’une mesure hygiénique comme le moucher.