La logique dans tous ça, les banques vont racheter à bas prix les logements saisis et les louer à ceux qui ont été délogés et qui n’ont pas encore perdu leur emploi. Pour eux, le rêve américain est fini et pour les banquiers, l’aventure continue, avec les profits. Il n’y a de rêve dans le système capitaliste que parce qu’il y a du cauchemar.