« Avec Nicolas Sarkozy, il y a une différence parce qu’on est amis. Si demain il me renie parce qu’il est président, je lui dirai :“Ce n’est pas sérieux Nicolas.”Oui, je lui dirai. […] Je crois que le fondement même de la Françafrique restera, quitte à l’améliorer. »
OMAR BONGO, INTERVIEWÉ DANS Le Nouvel Observateur, 18 FÉVRIER 2007