J’avais illustré ce point sur les nominations au CSA lorsqu’on avait vu Bernard Accoyer, président de l’Assemblée nationale nommer (prérogative régalienne attachée à ce poste prestigieux) Emmanuel Gabla, contrôleur des Technologies de l’information et de la communication ( et présenté par la presse unanimement béate comme un "ingénieur Télécoms") au CSA, alors que début janvier l’UMP Bernard Lefebvre, ami de nombreux Agoravoxiens, s’était vu refusé par cette même assemblée l’amendement visant à étendre l’autorité du CSA au web...
Alors que les ordres ne viennent pas d’en haut, il y a longtemps que le doute s’est transformé en certitude du contraire.
47% des français s’en doutaient avant les elections. Où sont les autres aujourd’hui ?