eh oui... le ciné qui raconte de belle histoires qui nous ramènent à la lobotomie des sentiments entendus et des modèles aussi serinés les uns que les autres, distribués par une boîte à vocation propagandiste, des films si prenants les tripes, à coups de grand orchestre et de violons en cascade... l’amour impossible nous fait tant rêver, ahh et ohh, parce qu’il nous ramène tous à des souvenirs de tortures x ou y puisque chacun souffre de la guerre menée à l’amour en ce monde...
tandis qu’on les vit par procuration, que la société est vidée de toute substance sociétale et que pour l’instant de quelques heures on oublie à quel point on nous pourrit la vie ces dernières années.
On nous enlèverait le ciné voilà qu’on casserait tout parce qu’alors nous serions obligés de nous rendre compte quelle vie de merde, quel esclavage a été organisé pour nous.
L’ère des paravents informatifs et des faux miroirs sur l’aom ou la foule préfère les rumeurs, érigées en mémoires sensibles par des financiers qui aiment se comparer aux bâtisseurs de cathédrales, mais qui remplissent le monde de gargouilles et de visions d’horreur, à sa propre vérité.
C’est bien un film sur mille qui ne soit pas une atrocité ou de la vile propagande. ces "beaux films" justifient les mille autres barbares.
les Bilderberg... signifie : la montagne d’images. Et on nous enterre dessous.