Je vous remercie pour votre partage.
En ce qui concerne la violence des commentaires en regard de mon article, j’en éprouve plutôt de la pitié.
Mon expérience personnelle m’a fait découvrir que la souffrance intérieure se réflète souvent dans l’aigreur de la parole. Soyez sans crainte, je ne leur en veux pas.
D’ailleurs, le but de cet article a spécifiquement un lien directe avec mon travail actuel.
J’en connais qui vont être surpris lorsqu’ils apprendront de quoi il s’agit.
Je m’esclaffe déjà !