L’auteur a probablement raison dans son analyse, mais si on laissaient les équilibres s’établir librement, le niveau de vie des Antillais rejoindraient (à peu de chose près) celui des autres iles des Antilles.
C’est à dire qu’il baisserait de façon drastique. Les salaires ne peuvent pas se maintenir au delà de la productivité réelle du travail, sans transfert MASSIF en provenance de la Métropole et le niveau de vie en Guadeloupe est en fait beaucoup plus élevé que l’économie seule de la Guadeloupe ne pourrait le supporter. C’est un niveau de vie complètement artificiel.
Dans ces conditions à quoi sert-il de dire qu’il n’est pas encore assez élevé, alors que ce niveau de vie ne se maintiendra qu’aussi longtemps que ceux qui financent ces transferts massifs accepteront de payer ?
Qui vous dit qu’ils accepteront de payer sans fin ?
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