"une attaque contre le principe du droit de propriété". Dixit Mme parisot.
Pour les actionnaires, cela coule de source. Parce que, comme pour la terre, celui qui la possède en récolte automatiquement les fruits. Les serfs d’Europe, les Moujiks russes, les esclaves de toutes les colonies du monde ont connu cela.
Mais d’où vient l’accumulation primitive du capital permettant l’achat d’une partie d’entreprise (l’action), laquelle partie se voit protégée par le droit très aliénable de propriété ? Débaptisons les profits et appelons-les simplement surplus. Et ces surplus il suffit de les partager entre tous les acteurs de l’entreprise, et en priorité ceux qui la pérennisent, c’est-à-dire les employés.
L’actionnariat n’est en fait qu’une captation indue de richesse, basée sur l’arbitraire et la loi du plus fort. Pensée héritée des temps anciens et qui ne devrait plus avoir cours aujourd’hui. On a l’impression que Mme Parisot tient un discours de la noblesse sous l’Ancien Régime. Nos droits sont inaliénables, Na ! On connaît la suite...
PS. Désolé d’écrire en caractères gras, mais le système d’Avox ne fonctionne pas...